À chacune de ses sorties, Vladimir brandit la menace nucléaire en cas d’interférence stratégique dans la crise en Ukraine. L’une des dernières c’était devant le parlement Russe : « Si quelqu’un a l’intention de s’ingérer de l’extérieur dans ce qui se passe [en Ukraine, NDLR] et de créer des menaces inacceptables pour la Russie, ils doivent savoir que notre riposte (…) sera rapide et foudroyante ». C’était il y a moins d’une semaine.
Selon lui, la Russie n’hésitera pas à utiliser ses armes les plus modernes. « Nous avons tous ces outils dont personne d’autre ne peut se vanter actuellement. Nous n’allons pas nous vanter : nous allons les utiliser s’il le faut. Et j’aimerais que tout le monde le sache », a souligné le président russe. « Toutes les décisions là-dessus ont été déjà prises », a-t-il ajouté.
C’est ce que rappelle une page sur Facebook :
Ses anciennes menaces
Dès le début de l’intervention russe en Ukraine, le Président Poutine lançait un message claire aux pays occidentaux. Toute intervention recevrait une réponse fulgurante. Sur des plateaux de télévision en Russie, des simulations sont faites régulièrement. Dernièrement, une vidéo où on montrait que Paris serait atteint en 200 seconde par un missile russe a été diffusée. Une attaque simultanée sur 3 capitales Européenne.
« Des conséquences que vous n’avez jamais connues auparavant dans votre histoire », disait-il déjà à l’aube de l’intervention. Dès fin février, la menace nucléaire était agitée par Vladimir.