Le réseau social Facebook est un espace où beaucoup d’internautes se font facilement et quotidiennement arnaquer : entre une promesse d’argent, une rencontre amoureuse ou une opportunité d’affaires, certains utilisateurs de Facebook dotés d’une mauvaise foi sont prêts à tout pour appâter et arnaquer d’autres. Très souvent, pour arriver à leur fin, ils utilisent de fausses identités (nom, photo, lieu de naissance par exemple)… C’est ainsi qu’un compte dénommé « Kb_Love » publie des photos de jolies et promet de vous donner leur numéro si vous leur écrivez. Attention ! Ce genre de comptes sont aux manettes des arnaqueurs animés par un désir avide et méchant de vous soutirer de l’argent ou d’accéder à vos données, les tripoter et les pirater par la suite.« Envoie-moi un message, je t’envoie mon numéro privée », a lancé la page Kb_Lovehttps://m.facebook.com/100867659172810/photos/a.100867692506140/100868489172727/?type=3*Facebook, un terrain propice pour les arnaques*Quand vous surfez sur les réseaux sociaux et en particulier sur Facebook, ne vous laissez pas si facilement duper par des promesses grandes et alléchantes. Ayez le temps de réfléchir une seconde pour ne pas se faire berner. Derrière beaucoup de promesses d’argent ou celles sur des relations amoureuses qui pullulent sur les réseaux sociaux se profilent et se cachent de grosses arnaques. C’est pour cela que vous devez faire beaucoup attention quand vous tombez sur ce genre de promesses. Outre l’arnaque, les bourreaux aux manettes peuvent accéder à vos données si vous tombez dans leur filet. Et la calamité ici, c’est qu’ils peuvent pirater vos comptes. Pire encore, ils peuvent vous faire du chantage si vous ne leur donnez pas ce qu’ils veulent. Trop souvent, c’est l’argent que les tortionnaires demandent à leurs victimes.Pour en savoir plus sur les arnaques sur le réseau social Facebook, rélisez cet article de Congo Check rédigé par Thérèse Dicampo :https://congocheck.net/deals-et-arnaques-attention-aux-annonces-qui-promettent-de-vous-faire-gagner-de-largent-sur-facebook/Gustave Katsuva
