La désinformation voire la mésinformation en République Démocratique du Congo a des conséquences graves sur les communautés.
Des sujets relatifs à la vie politique, aux vaccins, à la culture sont déformés/contournés en longueur des journées pour désorienter l’opinion ou servir des intérêts contraire à l’intérêt général.
Pour le mois de juillet, Congo Check, a dans sa mission de lutte contre la désinformation identifié que [ 50% (politique), 18 (santé), 13% (société/religieux)] d’infox diffusées et désamorcées par ses équipes avaient été concoctées à dessein ou propagées inconsciemment pour tromper l’opinion ou faire valoir des intérêts partisans.
→ La pertinence de travailler sur certains sujets est que ceux-ci auraient été à la base de conséquences multiples dont l’intoxication, la manipulation, la discrimination raciale ou ethnique, le public resterait dupe et cela constituerait une
désorientation dans le débat social ou politique voire sanitaire.
« Le public serait victime du harcèlement, d’escroquerie, de fraude… » à l’absence d’une information vérifiée rappelle Fiston Mahamba Wa Biondi, éditeur en Fact-Checking (vérification des faits) à Congo Check, qui appelle les membres de la communauté à être en première ligne de front contre la désinformation